Au diable le vague à l’âme, je souris, tu souris, il sourit, se répète la souris. Que faire quand le cafard s’abat pourtant ? Une interprétation moderne et très touchante de ce poème intemporel de Paul Verlaine sur le fameux spleen.
Ce court-métrage fait partie de la collection "En sortant de l'école" ; vous pouvez découvrir d'autres courts-métrages sur d'autres poèmes sur filmfriend.
Il pleure dans mon coeur
Il pleure dans mon coeur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon coeur ?
Ô bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits !
Pour un coeur qui s’ennuie,
Ô le chant de la pluie !
Il pleure sans raison
Dans ce coeur qui s’écoeure.
Quoi ! nulle trahison ?…
Ce deuil est sans raison.
C’est bien la pire peine
De ne savoir pourquoi
Sans amour et sans haine
Mon coeur a tant de peine !
Paul Verlaine (1844-1896), Romances sans paroles (1874)
Au diable le vague à l’âme, je souris, tu souris, il sourit, se répète la souris. Que faire quand le cafard s’abat pourtant ? Une interprétation moderne et très touchante de ce poème intemporel de Paul Verlaine sur le fameux spleen.
Ce court-métrage fait partie de la collection "En sortant de l'école" ; vous pouvez découvrir d'autres courts-métrages sur d'autres poèmes sur filmfriend.
Il pleure dans mon coeur
Il pleure dans mon coeur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon coeur ?
Ô bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits !
Pour un coeur qui s’ennuie,
Ô le chant de la pluie !
Il pleure sans raison
Dans ce coeur qui s’écoeure.
Quoi ! nulle trahison ?…
Ce deuil est sans raison.
C’est bien la pire peine
De ne savoir pourquoi
Sans amour et sans haine
Mon coeur a tant de peine !
Paul Verlaine (1844-1896), Romances sans paroles (1874)